Partager l'article ! Un homme soumis et réussite sociale.: Un post que m'a inspiré un commentaire de Valery sur mon post précedent. Valery disa ...
Un post que m'a inspiré un commentaire de Valery sur mon post précedent.
Valery disait : Je m'étonne qu'une femme comme toi, libérée, intelligence, sensuelle
puisse se satisfaire d'une lavette. Je pense que pour t'entretenir comme la salope que tu es, il faille un homme qui soit particulièrement ambitieux. Tu me sembles être de ces nanas qui coutent cheres.
À moins que Valery ne soit un de mes
admirateurs qui me couvrent de cadeaux sans prix, je ne vois pas comment quelqu'un peut déduire que je suis une de ces nanas qui coutent cheres, mais qu'importe je peux dire en effet mon
O est un homme qui m'entretient comme je le mérite... (Valery disait comme la salope que je suis ?) Je suppose que c'était sa façon de dire qu'il me dorlotte...
Plus sérieusement mon désir de dialogue est sur la question :
Un homme qui réussit socialement peut-il être soumis ou un homme dominé
peut-il réussir socialement...
Quel étonnant raccourci de penser qu'un homme soumis à une femme ne puisse pas être un homme qui réussise
socialement...
J'ose même dire que c'est tout le contraire : un homme qui se soumet aura bien plus de chance de réussir socialement,
professionnellement. Puisqu'en refusant de nier sa nature, cet homme est plus fort, plus heureux, plus attirant, plus épanoui... Libéré des pièges
de la pensée unique, absous des carcans de la société civile implacablement statifiée, il libère sa créativité, sa capacité... il est motivé, il est admiré. Et comme le disait si justement Jules
renard : L'homme libre est celui qui ne craint pas d'aller jusqu'au bout de sa raison.
Mon O est un homme que vous admireriez, qui sait si, il n'est pas votre meilleur ami, celui que vous trouvez si brillant, à
qui tout réussi...
Si vous saviez ce qu'il s'amuse à ramper à mes pieds... mais oui si vous aviez gouté mes lèvres brulantes lorsqu'il est là à moi...
Si vous aviez tiré sur les liens de mon corset pour me faire la taille fine, fine fine, fine.... si vous aviez été aimé, si vous aviez gouté le petit fouet.
Mais je vous reconnais vous êtes celui qui regardez O, avec envie lorsque nous vous croisons au restaurant... Vous êtes l'homme qui ne savez pas de quelle couleur sont mes yeux mais vous
connaissez ma taille... vous n'êtes pas soumis et cela se voit, ah oui on devine aisément — que lorsque vous rentrez à la maison... lorsque vous otez votre costume de divin mec — combien
vous vous emmerdez !
Mais chut, je viens d'enchaîner O aux quatre coins du lit... il s'endort doucement. Il faut qu'il se repose demain il présente le business plan de sa boite et après demain soir je lui est réservé une petite surprise pour qu'il se détende... je l'emmène à Berlin.
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