Mercredi 13 juillet
3
13
/07
/Juil
12:54
Sous mon arbre, au soleil, je m'assoupis au vapeurs trop chaude. Je rêve d'un bel orage... d'un orage, pendant lequel on se
dit 'est le moment de sortir, de courir sur la
lande ou de partir en chasse. Courir les pieds dans la terre... Pour une chasse, comme celles du comte Zaroff par exemple.....
Que j'aime marcher pieds nus et fuir devant le
chasseur ! Oui, bien sur, nue, pieds nus appréhender le monde avec son corps… le bois, l'herbe, les cailloux puis faire l'amour ainsi.... dans l'herbe mouillée après un orage
d'été, prendre la force d'un vieux chêne en l'enlaçant complètement et grimper dans ses bras…
- Mais O' que faites-vous
? - Au grand chêne je
vais vous attacher......
- M'attacher au chêne et...
- Dénuder votre dos...et couper une
badine.....
- mais
- La sensualité de l'orage me font perdre la tête et puisque vous
semblez si inspirée …
Vous avez denudé mon dos...et fait siffler une
badine…..
- J'aime vos épaules
nues… votre dos blanc jusqu'à la taille, je savoure jusqu'à la naissance de vos
fesses... j'aime vous voir ainsi et redécouvrir votre cul... votre croupe animale offerte. Ah, ce chêne que vous étreignez, comme si, il allait vous prendre, vous l'enlacez comme un amant, ma belle salope, auriez-vous peur ma divine ou déjà sentez- vous le miel du
plaisir vous couler entre les jambes ? J'ai décidé, c'est 50 coups de badine que vous
recevrez et ne perdez pas notre temps à demander pourquoi.
C'est ainsi, et puisque c'est que je désire, vous les compterez à voix
haute....
- Mais je suis votre ...?
- Mais il faut que la fôret, ses enfants et votre O' nous vous
entendions...et chaque reproche, chaque révolte vous vaudra 10 coups de
plus…
Vos liens de
cuir m'ont pris les poignets, ce chêne ne voulait pas que je puisse lui
échapper nul besoin de pinces...son écorce me brûle le corps, en s'enfonçant dans mes chairs. Chaque coup porté m'offre à cet arbre un peu plus.- Vous n'avez jamais étreint personne comme ce chêne , ce soir, vous
n'avez jamais senti cette force vous pénétrer. Vous verrez...vous serez apaisée....après ce
bel hommage et vos larmes nourriront sa sève renaissante.....puis vous me
prendrez...et nous ferons l'amour..tous les
trois.....vous, le chêne...et moi. dans le sang, les larmes et la
luxure...
Depuis, cher O', je prie le ciel… qu'un orage éclate chaque
soir...Je ne regarderai plus jamais le gros chêne de la même façon… et je vous assure que ces 50 coups de badine, je vous les rendrais.
Derniers Commentaires